À l’occasion du Printemps du Livre Jeunesse #PLJ70 qui aura lieu le samedi 29 mai 2021 à la manufacture de Saint-Loup-sur-Semouse, les classes du cycle 1 au cycle 4 du département sont invitées à proposer leurs créations…
« Apprendre à lire aux enfants est notre première mission ! La lecture est une compétence « socle » sans laquelle les enfants, puis les adultes, ne peuvent progresser dans le savoir.
Pour la quinzième année consécutive le Ministère de l’Education Nationale s’est associé à l’Office National des Anciens Combattants et Victimes de Guerre pour organiser le concours « Les Petits Artistes de la Mémoire, le regard des enfants sur la Grande Guerre » à destination des élèves de CM1 et CM2.
Ce concours a pour objet de préserver et de transmettre aux plus jeunes la mémoire des combattants de la Grande Guerre. Les élèves doivent créer un carnet de guerre artistique, alliant expression littéraire, plastique et. numérique. Les recherches effectuées à cette occasion permettent d’aborder de façon pédagogique l’histoire locale et nationale ; le point de départ étant le nom d’un poilu sur le monument aux morts du village ou de la ville , ou l’ascendant d’un élève de la classe.
Une version « Vidéo » qui n’enlève en rien à la qualité des prestations !
La finale du concours « Les petits champions de la lecture » devait se dérouler le 27 mars à Vesoul… Mais changement de CAP et élaboration d’une finale « Virtuelle » tout à fait originale !
Les enfants, accompagnés de leurs parents pour cet exercice, ont répondu avec enthousiasme à notre proposition, qui a également trouvé un écho favorable auprès des enseignants, dans le cadre de la continuité pédagogique.
Mais la lecture n’est pas seulement un atout. Elle devient rapidement facteur de liberté, foyer de l’imaginaire, source des jeux, des rêves. La performance en compréhension de l’écrit, nous rappellent les spécialistes, est indissociable du plaisir pris à lire : c’est la difficulté, que connaissent tous les enseignants et médiateurs du livre, d’entraîner les enfants à lire, sans transformer la lecture en impératif. Et c’est bien aussi le message qu’a transmis le parrain des premières éditions, Daniel Pennac, dans ses droits du lecteur : le droit de ne pas lire, le droit de sauter des pages, et le droit de… lire à voix haute.